La partie principale de la rencontre : organiser la communauté


away-1015318_640.jpg

Le petit groupe de réorganisation va maintenant rentrer dans le vif du sujet. Il ne s’agit pas de tout figer à l’avance, mais il est bon d’avoir suffisamment d’éléments pour présenter la communauté à de nouvelles personnes que nous inviterons par la suite. L’encadré suivant vous donne neuf informations pour décrire votre communauté que vous pouvez décider ensemble. Il restera par la suite à décider un certain nombre de choses sur les activités et outils de la communauté (nous verrons cela dans le chapitre suivant) mais pour éviter de se “cacher derrière les outils” comme nous en avons parlé dans la première partie, il vaut mieux commencer par l’organisation humaine...


Les informations sur la communauté peuvent être partagées sur une page de présentation de la communauté (si vous n’en avez pas encore, nous verrons cela au chapitre suivant). ces informations peuvent également être partagées avec d’autres communautés pour faciliter les liens entre elles comme nous le verrons un peu plus loin.


A faire : décrivez la communauté

Vous pouvez décider ensemble des éléments qui ne sont pas encore définis pour décrire votre communauté. Je vous conseille d’en discuter dans l’ordre suivant (il est plus facile de faire une description longue qu’une description courte…):

  • Type de groupe : thématique ou territorial. Si avez du mal à choisir car vous vous intéressez à une thématique particulière sur un territoire déterminé, comment imaginez vous vous développer dans le futur ? Ajouter de nouvelles thématiques en se centrant sur le territoire ou au contraire accueillir de nouveaux territoire sur la même thématique ?

  • Mots clés : entre 3 et 10 mots clés : comment décrire votre thématique, votre territoire, vos centres d’intérêts…

  • Description en un paragraphe : que fait ou que va faire la communauté, qu’est-ce qui nous rassemble ?

  • Description courte  en une phrase ;

  • Nom du groupe : le plus explicite possible sur le thème ou le territoire concerné ;

  • Nom court pour les URL et les adresses mails : une forme souvent raccourcie du nom ou éventuellement un acronyme, sans espace ni caractères particuliers (à l’exception du tiret et du souligné) ;

  • Partenaires : la communauté n’ayant pas de structure propre, cette partie présente les associations, sociétés et autres organisations qui peuvent lui apporter certains moyens (locaux, visibilité, hébergement financier lorsque nécessaire...). Cette information  est facultative et permet simplement de rendre visible quelques structures autour de la communauté. Vous pourrez y ajouter d’autres organisations au fur et à mesure, mais inutile de mettre toutes les organisations qui sont membres de la communauté ni d’en faire un enjeu de pouvoir...

  • Nombre de participants actuels : cette valeur va évoluer régulièrement mais il est bon de savoir a peu près combien on est (elle pourra être mise à jour de temps en temps sans nécessiter de le faire trop souvent, sauf si on peut obtenir ce nombre de façon automatique) ;

  • Adresse de la page d'accueil de la communauté (si elle existe) : si vous n’avez pas de page Web qui pointe vers toutes les ressources de la communauté, ne remplissez pas cette partie et attendez le chapitre suivant (il vous faudra résister à l’envie de mettre tout de suite quelque chose en ligne, mais ici nous avons choisi de nous intéresser aux humains d’abord…) ;


Maintenant que vous savez ce qui vous rassemble et avez les moyens de le dire aux autres, il est temps de définir quelques règles de fonctionnement. Là aussi, évitez de céder à la tentation de passer de nombreuses réunions à définir des chartes, des règlements intérieurs ou autre… On se cache souvent derrière les documents pompeux que plus personne ne lit par la suite de la même façon que l’on se cache derrière les outils. Il est bien plus utile d’avoir trois très courtes règles que vous pourrez rappeler souvent (et même mettre en bas des mails de la liste de discussion).


Le fait de choisir les règles avant et de les diffuser régulièrement leur donnera de la légitimité. Il sera plus facile de proposer à un membre de revenir aux règles pré-existantes du groupe que de lui demander de suivre des règles qui arrivent soudainement (“il serait normal que…”).


Exemple : trois règles efficaces pour le fonctionnement des groupes

Je vous propose trois règles très courtes que vous pouvez adopter telles quelles ou bien transformer suivant votre choix :

  1. Bienveillance et bientraitance

  2. Écoute apprenante

  3. Partage sincère


La bienveillance est une règle simple mais fondamentale. Elle permet d’accueillir les nouveaux contributeurs et d’accepter d’écouter les idées qui diffèrent des nôtres. Nous avons appris à juger le plus rapidement possible. Cela nous amène à rejeter beaucoup d’idées et les considérer comme “stupides”. Pourtant, c’est le croisement des points de vue qui fait avancer bien plus que le rapport de force ! La bientraitance est une autre facette importante. Même sans malveillance, on peut blesser quelqu’un (par exemple en faisant de l’humour sur une personne). Cela ne veut pas dire que personne ne sera jamais malveillant ni qu’il ne fera d’actes de maltraitance. Mais si c’est le cas, même de façon involontaire, il faudra dès que possible revenir à la règle.


L’écoute de l’autre est une deuxième règle importante pour les groupes de personnes. L’écoute apprenante permet d’aller plus loin : il ne s’agit pas simplement de “laisser l’autre parler” mais de chercher réellement ce qu’il peut nous apporter, même si au premier abord nous pouvons nous sentir frustrer qu’il émette un avis différent. Cela permet de sortir du dogmatisme et des arguments d’autorité. Personne n’a toutes les solutions et nous avons tous à apprendre !


Le partage sincère offre un troisième aspect qui facilite les échanges dans le groupe. Nous allons avoir à partager des informations. Plus nous le ferons plus la communauté s’enrichira. Rappelez vous la loi de Metcalfe “l’utilité d’un réseau est proportionnelle au carré du nombre de ses utilisateurs”. Mais cela n’est vrai que si les membres du réseau échangent entre eux, sinon l’utilité se limitera à la somme des utilisateurs ou pire encore elle sera réduite à l’apport de celui qui parle le plus fort...


Il nous reste ensuite à Identifier les premiers projets. Pas la peine d’en avoir énormément, l’idéal serait d’en avoir au moins deux (ce qui ouvre la voix à un troisième par la suite) et si possible ne pas dépasser les quatre ou cinq projets pour faciliter le travail du facilitateur au départ. Il peut s’agir de nouveaux projets, dans ce cas il est bien que chaque projet intéresse deux ou trois des membres du noyau pour que le projet soient collectifs dès le départ. Il peut également s’agir de projets déjà existants : un projet porté par une personne ou même par une des structures qui participe au noyau de départ. Cela facilite le démarrage. Il suffit simplement que la personne ou la structure accepte d’ouvrir le projet à tous les membres de la communauté qui souhaiteraient y participer. Il ne s’agit pas pour la personne ou la structure qui a initié le projet de perdre son identité, mais plutôt de lui donner plus d’ampleur à la fois en accueillant des nouvelles personnes et aussi en profitant de ce qu’apporte la communauté au projet.


Pour chacun des projets, notez son nom, une petite phrase qui décrit le projet et le nom des porteurs (le petit groupe de ceux qui sont prêts à s’y investir). Les porteurs de projet peuvent choisir un référent  qui sera contacté régulièrement par le facilitateur pour faire le point et lui proposer de partager l’avancement avec le reste de la communauté. Vous pouvez éventuellement ajouter l’adresse d’un site où sont partagés les informations sur le projet s’il existe (si ce n’est pas le cas, nous verrons cela au chapitre suivant toujours pour ne pas se cacher derrière les sites et les outils mais donner la priorité aux humains…).


Il nous reste une dernière tache importante pour organiser “l’intérieur de la communauté” : identifier le facilitateur (ou éventuellement les deux facilitateurs qui travaillerons ensemble). Comme nous l’avons vu, “le rôle de facilitateur ne nécessite pas d’être le plus grand expert dans le domaine du groupe, ni d’être le plus légitime (à condition que le ou les leader(s) lui apportent la légitimité nécessaire), ni même d’être le plus actif (1 heure par semaine suffit). En fait le rôle de facilitateur nécessite une capacité rare dans un groupe de quelques centaines de personnes : être proactif ! [...] Le facilitateur a donc un rôle fondamental : suivre proactivement l’état actuel du groupe (actions, projets, prochaine réunion...)”.


Pour en savoir plus : à quoi s’engage le facilitateur ?

Le facilitateur s’engage à passer chaque semaine une heure pour aider la communauté et ses projets collectifs à communiquer.

  • Si une semaine particulière il ne peut pas assurer cette heure, il s’engage alors à envoyer au moins un mail à la communauté (ne serait-ce que pour lui dire qu’il n’est pas disponible cette semaine mais que sans attendre la semaine prochaine, les porteurs de projetspeuvent  tout de même indiquer où ils en sont).

  • S’il ne peut pas assurer plusieurs semaines de suite ou même définitivement, le facilitateur s’engage à prévenir la communauté. Il peut éventuellement proposer un remplaçant temporaire ou permanent ou bien d’autres personnes de la communauté peuvent se proposer.


Pendant cette heure hebdomadaire, le facilitateur va :

  1. contacter un ou deux référents de projet n’ayant pas communiqué l’avancement du projet depuis un mois ou plus, pour faire le point et lui proposer d’envoyer un message à la communauté pour partager l’avancement (dans l’idéal chaque projet devrait communiquer avec la communauté au moins une fois par mois) ;

  2. vérifier qu’il y a eu au moins un message dans la semaine et à défaut, envoyer soi même un message avec par exemple les infos des projets qui n’ont pas communiqué ;

  3. vérifier qu’une rencontre en ligne ou en présentiel de la communauté est bien prévue prochainement et à défaut, relancer l’organisateur de rencontres ou lancer soi même un sondage de date ;

  4. vérifier que l’agenda, le flux d’information et éventuellement les pages projets sont mis à jour régulièrement et à défaut relancer l’attrapeur et/ou le bloggeur / griot / community manager (parfois en attendant qu’une personne accepte un de ces rôles, le facilitateur peut les assumer en publiant au moins une fois par mois) ;


Quatrième partie de la rencontre : ouverture et entraide avec d’autres communautés


Avec l’organisation mise en place dans la partie précédente, tout est prêt pour faire tourner la communauté avec ses quatre activités et quelques projets collectifs. Avant de mettre en place les outils puis d’inviter de nouveaux membres, il reste deux choix à faire sur les liens entre la communauté et l’extérieur.


Le premier choix concerne la participation de la communauté à un ou plusieurs écosystèmes. Comme nous l’avons vu, l’écosystème permet de gagner beaucoup de temps et d’enrichir la communauté, en particulier grâce aux échanges avec d’autres groupes. Ceux-ci peuvent se faire naturellement et sans travail supplémentaire. Il suffit de faciliter l’inscription de membres à plusieurs communautés. L’écosystème peut apporter une identité et une légitimité forte. Il peut au contraire permettre au groupe de conserver complètement sa propre identité en assurant une simple mise en réseau de communautés. Dans ce cas, il est tout à fait possible de participer à plusieurs écosystèmes pour bénéficier encore plus d’échanges. Définissez lors de la rencontre le ou les écosystèmes qui permettront à la communauté de ne pas rester isolée.


Pour en savoir plus : participer à l’écosystème Coop-group

L’écosystème Coop-group.org est une simple mise en réseau de communautés qui partagent des valeurs communes d’ouverture tout en respectant l’identité de chacune. Pour participer à coop-group, votre communauté doit s’engager sur trois conditions :

  • elle doit être ouverte à tous ceux qui le souhaitent sans adhésion ni autre restriction ;

  • elle doit s'engager à développer le pouvoir d'agir de ses membres ;

  • elle doit partager publiquement ses productions (par exemple grâce à des licences de distribution et de réutilisation de type creative Commons -by -sa) ;

Il est possible d’identifier, de voir la présentation et de s’inscrire ou desinscrire facilement à une ou plusieurs communautés. Coop-group dispose d’une page générale, http://coop-group.org/, qui présente les communautés par thème, carte territoriale, mots clés… L’écosystème s’appuie sur une base de données qui contient les informations indiquées dans l’encadré un peu plus haut : “à faire : décrivez votre communauté”. Il est même possible de créer des écosystèmes plus spécifiques rassemblant un sous-ensemble de communautés (c’est le cas par exemple de l’écosystème Cyou sur les sciences et technologies).


Pour les communautés qui le souhaitent, Coop-group.org peut proposer plusieurs services gratuits :

  • un accompagnement pour la mise en place et ensuite pour le suivi de la communauté ;

  • et des outils qui peuvent être utilisés en complément éventuel des autres outils de la communauté : liste de discussion, espace de partage, rencontres en ligne ;



Le deuxième choix concerne la participation des animateurs (qui le souhaitent) à une communauté d’animateurs pour faciliter l’échange, l’entraide et la montée en compétence collective. La participation à une communauté d’animateurs ne doit pas être synonyme de temps supplémentaire. Au contraire, cela doit vous faire gagner du temps. Il est tout à fait possible d’être simplement observateur ou même inactif dans cette communauté d’animateurs, de même que vous aurez des observateurs et des inactifs dans votre propre communauté !


La communauté Anim-fr rassemble actuellement plus de 400 animateurs francophones de communautés, de projet collectifs et même d’écosystèmes collaboratifs. Pour s’y inscrire (ou se desinscrire) il suffit d’aller sur http://coop-group.org/anim-fr/ (onglet “inscription/desinscription” en haut). Anim-fr facilite l’échange entre animateurs indépendamment des écosystèmes auxquels ils appartiennent. On y trouve ainsi des animateurs de coop-group.org; des Collibris, des réseaux de la transition, ou encore de diverses organisations et entreprises.


Identifiez tous ceux qui, dans le noyau de départ, sont d’accord pour être inscrits dans une communauté d’animateurs, par exemple anim-fr. Plutôt que de demander à chacun de s’inscrire (combien vont oublier de le faire après la réunion ?), prenez en note ceux qui acceptent ainsi que leur mail et définissez dans le plan d’action qui s’occupe d’inscrire tout le monde (le facilitateur par exemple).


Pour faire avancer les choses : aider les animateurs dans différentes langues

L’écosystème Coop-group a été créé à partir de 2010 pour faciliter le développement de communautés ouvertes et aider les porteurs de projets à ne pas rester seuls. Il rassemble des communautés de différents types, mais sert également de “laboratoire” pour développer et expérimenter les méthodes présentées dans cet ouvrage. Aujourd’hui (en 2016), Coop-group est encore jeune. Bien qu’il rassemble de nombreuses personnes y compris de pays non francophones (Brésil, Chine, Georgie, Russie…), les communautés ont principalement comme langue de travail le français.


Après s’être étendu vers de nouveaux territoires et de nouveaux thèmes, la nouvelle étape pour développer l’écosystème consiste à s’étendre vers de nouveaux domaines linguistiques. Une des façons les plus simple de faire cela, est de créer de nouvelles communautés, dans de nouvelles langues, avec des noyaux de départ constitués de plusieurs personnes dont certaines appartiennent déjà à une ou quelques autres communautés de l’écosystème. Dans le cas d’un écosystème qui devient multilingue, cela implique -dans un premier temps- d’avoir des personnes qui maîtrisent leur propre langue mais aussi le français afin de créer les ponts avec les autres communautés de Coop-group.


Une des spécificités de Coop-group, outre les 3 conditions présentées un peu plus haut, est de proposer une méthodologie - celle de ce livre- et des outils pour la mettre en oeuvre, aux communautés qui le souhaitent. Pour constituer un premier équivalent, s’il n’existe pas déjà, de la communauté  Anim-fr dans votre communauté linguistique, vous pourriez rassembler quelques personnes habituées à l’animation de communauté et maîtrisant la méthode présentée ici, dont le plus possible parlent également le français suffisamment pour suivre la communauté Anim-fr. Au sein de cette première communauté dans votre langue, ses membres pourront monter en compétence et créer de nouvelles communautés dans leur langue ou bien utiliser la méthode présentée ici pour développer des communautés existantes. Si l’aventure vous tente, n’hésitez pas à venir en discuter dans la communauté Anim-fr.


Conclusion de la rencontre : plan d’action et prochaines étapes


Nous arrivons à la fin de la rencontre. Il est temps maintenant de reprendre ce qui a été dit et d’en extraire un plan d’action en prenant soin de noter qui doit faire quoi, éventuellement avec une date limite. Le facilitateur pourrait être chargé du suivi du plan d’action .


Il faudra par exemple inscrire les informations de chacun sur un annuaire commun (en utilisant un outil qui peut être tout simplement un tableur ou un traitement de texte, de préférence en ligne pour faciliter le partage et la mise à jour. Le plan d’action comprendra d’autres points comme d’inscrire ceux qui ont donné leur accord sur anim-fr, etc. Attention simplement de ne pas mettre en place d’autres outils que le simple annuaire. Nous verrons au chapitre suivant comment mettre en place les outils du groupe. Ce sera la prochaine étape, une fois que tout ce qui concerne l’organisation -hors outils- aura été finalisé.


friends-1013856_640.jpg

La check list suivante peut vous aider à vérifier que vous n’avez rien oublié. Si vous n’avez pas eu le temps de tout traiter lors de la première rencontre, pas de problème ! Ce sera une excellente occasion de continuer ensuite l’échange en ligne et ainsi de commencer les bonnes habitudes. Si vous démarrez votre communauté ou bien si vous n’avez pas encore d’outils pour discuter en ligne (par exemple une liste de discussion), envoyez simplement un mail en mettant en copie l’ensemble des membres du noyau de départ pour lancer l’échange. A ce stade, le groupe est suffisamment petit pour que les ajouts de personnes puissent être traités “à la main”. Vous pouvez terminer la rencontre avec les “rapports d’étonnement” des différents participants.



A faire : check list pour organiser une communauté

Lorsque vous partez d’une communauté existante, commencez par cocher ce qui est déjà existant (nom de la communauté, etc.)

Identification du noyau de départ  pour organiser la communauté (chapitre précédent)

 

Sondage pour trouver la date et envoi de l’invitation (chapitre précédent)

 

Les coordonnées de chaque membre du noyau notées quelque part

 

-5- Choix du nom du groupe

 

-6- Choix d’un nom court à utiliser pour les URL et les adresses mails

 

-1- Choix du type de communauté (thématique ou territorial)

 

-4- Rédaction d’une description du groupe en une ligne

 

-3- Rédaction d’une description du groupe en un paragraphe

 

-2- Choix de mots clés pour décrire le groupe

 

-7- Éventuellement, identification de partenaires (optionnel)

 

-8- Identification du nombre de participants actuels

 

-9- Identification de la page d’accueil (uniquement si elle existe déjà)

 

Adoption de trois règles simples de fonctionnement

 

Quelques projets identifiés avec un nom, un référent et une description  en une phrase

 

Identification du facilitateur (ou des facilitateurs)

 

Choix du ou des écosystèmes dans lesquels s’insérer

 

Identification de ceux qui acceptent d’être inscrits sur anim-fr et/ou une autre communauté d’animateurs

 

Plan d’action défini avec qui se charge de chaque point

 

Mise en place d’un annuaire partagé

 

Contact avec le ou les écosystème choisis

 

Inscription de ceux qui ont accepté sur anim-fr et/ou une autre communauté d’animateurs

 

Retrouvez tous les épisodes publiés ainsi que d'autres contenus sur http://tinyurl.com/animapproches et échangez sur https://lite6.framapad.org/p/animapproches

Rendez-vous le 22 avril pour le prochain épisode : troisième étape : les moyens d’animation


Répondre à cet article